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Le Bagad recrute sonneurs confirmés ou débutants dans tous les pupitres.
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Issu du CCBO, le bagad devenu adulte prend son indépendance et vole de ses propres ailes le 1er juillet 2004. Il réunit au départ 18 sonneurs de bombardes, percussions et cornemuses animés par la même passion de la musique bretonne et plus largement celtique. Les objectifs sont établis dès les premières répétitions :

  1. Se produire dans la région et au-delà
  2. Former les musiciens à la pratique en ensemble
  3. Préparer les concours annuels de bagadoù organisés par la Fédération BAS   

- Un jury toujours plus impressionné :
Ainsi, le bagad se présente pour la première fois au concours de cinquième catégorie à Carhaix en juillet 2006. Une première expérience motivante qui aura permis à l’ensemble de se concentrer autour d’un projet musical et de se mesurer à des formations venant de toute la Bretagne. Une participation reconduite en 2008 à Vannes. En 2009, le bagad d’Orvault présente une suite de thèmes traditionnels au concours départemental de cinquième catégorie du Finistère, pour finir dans le peloton de tête, dans le très réputé « pays des 1000 sonneurs ».  

-  Une formation de qualité :
Les 3 pupitres disposent de formateurs issus des tous meilleurs bagadoù qui insufflent une progression collective dans la qualité de jeu notamment (technique, son…) et prépare l’avenir du bagad. Citons par exemple pour les derniers formateurs Frédéric Lastennet (cornemuse - Bagad de Lann Bihoué, Bagad Quimper…) qui a été penn-soner d’Orvault, Gwennaël Goulène (bombarde – bagad St Nazaire, bagad men ha tan…), Riwan Leroux (percussions – bagad St Nazaire…).

- Une expérience de la scène
Durant ses dix années d’existence le bagad d’Orvault a été accueilli dans plus de soixante manifestations, ponctuant la vie de la région (le carnaval de Nantes, Sardinantes, la fête des Jonquilles, Festival Celtique de St Etienne-de-Montluc, ou plus récemment le marathon de Nantes, la mise à l’eau de la réplique du bateau de Jules Verne…) et autres demandes de prestataires privés (les bateaux nantais, la SNCF…).
La notoriété du bagad se propage rapidement hors du département, invités par exemple à Limoges en 2007, ou encore Belle-Ile-en-Mer, Garat et pour couronner le tout un voyage à Barcelone en 2006. Alors si après ça, Carlos Nunez, ‘y veut pas de nous… ;-))

Après 10 ans d’existence, l’un des plus jeunes bagadou existant à l’heure actuelle peut s’enorgueillir de sa double dynamique formation/prestation animé par les 15 sonneurs qui le composent et font sa personnalité.